Musée des 24h du Mans, l’expo TOYOTA !

Last updated on 24 mai 2022

Le 9 Juillet 2021 a été inaugurée une exposition temporaire au Musée des 24h du Mans : « Toyota, le temps de la victoire« . L’occasion de retrouver avec bonheur ce musée très riche.

L’expo permanente au pas de course

C’est ma troisième visite dans ce Musée des 24h du Mans après 2013 et 2017 et même s’il est régulièrement réagencé au gré des entrées et sorties de voitures, la base reste sensiblement la même. Le temps m’étant compté, c’est d’un pas décidé que je parcours les différents espaces. Promis, un jour je reviendrai en détail sur les trésors de ce musée mais là n’est pas le thème de cet article 😇

De mémoire, les motos étaient absentes en 2013 et simplement alignées à l’entrée en 2017. Là, elles ont droit à un bel espace et finalement j’y aurait passé bien plus de temps que prévu. C’est une grosse dizaine de motos de toutes les époques ayant participé aux 24h ou au Bol d’Or qui s’offrent aux visiteurs.

Même si je sais qu’il a existé des voitures avant les années ’80, j’ai toujours du mal à m’intéresser à tout ce qui a plus d’un demi-siècle. Puis on arrive dans la dernière allée et … difficile de ne pas s’attarder sur les différents protos et GT, notamment ceux des années 90 et 2000. Je note un certain effort de présentation avec plusieurs thématiques : Rondeau, Porsche et même un reliquat de la précédente expo « Le Mans ’66 ». Mais j’enrage toujours contre cette lumière jaune vraiment faiblarde et les voitures trop proches les unes des autres.

Expo Toyota : « Le temps de la Victoire ! »

Bon ben finalement, j’aurai quand même passé près d’une heure à parcourir l’exposition permanente. Il faut dire que c’est dense et le nombre de modèles exposés est conséquent. Vite vite … allons découvrir les surprises que cette exposition inédite nous réserve. 🙂

Les murs comportaient de nombreuses explications vraiment intéressantes.

35 ans d’histoire au Mans

Une fois l’arche franchie … grosse claque : « Mais mais … c’est une Supra !!  » Ou plutôt LA Supra !!! 😮 Le modèle de route est l’une de mes voitures préférées, la version JGTC de tourisme Japonais mon graal absolu. Quant à cette version du Mans, j’ai appris son existence récemment et je n’imaginais pas pouvoir la photographier un jour !! Derrière, on aperçoit l’une des premières Groupe C motorisée par Toyota dans les ’80s.

Au centre de l’expo trône la voiture ayant remporté les 24h du Mans en 2020 dans une configuration « finish line » – comprendre, laissée en l’état depuis la fin de la course. A l’arrière plan, face à face, deux protos ayant couru dans les ’90s.

La voilà !!! En toute honnêteté, je suis venu voir cette expo juste pour elle, la GT One ! Sans doute marqué par Gran Turismo mais également par cette course folle en ’99 qui regroupait BMW, Mercedes, Nissan, Toyota … Elle n’a pas gagné mais c’était la plus belle. Derrière on retrouve la LMP1 de 2012 C’était le début de l’ère Hybride à laquelle Toyota est intimement liée, nous y reviendrons.

Voilà, on a fait le tour des 7 modèles présentés qui couvrent par moins de 35 ans entre 1986 et 2020. Il est temps de s’attarder sur chacun d’entre eux, détailler en quoi ils sont remarquables et comment ils s’intègrent dans l’histoire de Toyota au Mans. 😉

Toyota Supra GT ’95

Bon, je vais me répéter mais la présence de cette Supra GT LM est une divine surprise !! Alors forcément j’ai shooté, shooté, encore et encore pour être sûr de l’avoir sous tous les angles. Avoir rencontré un propriétaire lors du Rallye du Limousin ’20 a fait ressurgir une adoration pour ce modèle datant de mon adolescence … ! 😍

🤪 C’était sans doute ma tête lorsque je suis tombé sur la Supra avant même d’avoir franchi le seuil de l’expo !

Au final, un peu isolée des 6 autres, c’est elle qui avait la meilleure place pour les photos !! Alors je ne me suis pas privé ! 😋

La Supra a été commercialisée à partir de ’93. D’abord engagée en championnat GT Japonais – le fameux JGTC, Toyota en extrapole une version « endurance » pour courir les 24h du Mans ’95. Globalement trop lourde et conservatrice elle ne pourra pas concurrencer les favoris que sont les Ferrari F40 LM mais surtout les très nombreuses McLaren F1 GTR. Bref, elle finit à une anonyme 14ème place.

L’aventure sur poursuit en ’96 avec une voiture légèrement modifiée et allégée mais les résultats ne sont pas plus brillants malgré un gain de 5sec au tour en qualification par rapport à l’année précédente. Il faut dire que Porsche débarque avec une 911 GT1 qui tient plus du proto que de la GT issus d’un modèle de route. L’histoire de la Supra au Mans s’arrêtera après 205 tours suite à une sortie de route.

Si j’aime autant les GT, c’est par leur filiation avec les modèles de route dont ils sont issus. Les protos provoquent chez moi moins d’émotion.

Une Supra, c’est avant tout un aileron arrière surdimensionné. La version LM ne déroge pas à la règle !

  • Caractéristiques techniques : 4 cyl. 2.1l Turbo, 650 ch, 1245 kg.
  • Palmarès Palmarès aux 24h du Mans 14ème en ’95.
  • Particularité : Si la Supra est aussi mythique c’est entre autre grâce aux incroyables possibilités de préparation de son 6 cylindres en ligne. Hors, toutes les versions de compétition – au Mans ou en JGTC au Japon – sont motorisées par un 4 cyl. turbo car plus léger et plus compact !
  • Plus d’infos : Article génial, très bien illustré/documenté à retrouver sur fail-auto.

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Toyota 86C ’86

L’endurance et les Groupe C étant très populaires au Japon, Toyota décide de s’engager dans la course des 24h du Mans à partir de ’85. Fidèle au principe du Kaizen – amélioration continue – sur lequel Sakichi TOYODA a fondé le Toyotisme, le constructeur arrive dans la catégorie plein d’humilité en s’associant avec des partenaires – SARD et Dome – ayant déjà l’expérience de la discipline. L’objectif premier est d’apprendre et tester la fiabilité de la mécanique.

  • Caractéristiques techniques : 4cyl. 2.1l Turbo, 500 cv, 880 kg (source : 24h-en-piste.com)
  • Palmarès aux 24h du Mans : Abandon lors de la 7ème heure en ’86.
  • Particularité : La voiture sœur #38 ira au bout des 24h mais avec seulement 295 tours parcourus elle sera « non classée ».
  • Plus d’infos : Ben non, j’ai vraiment rien trouvé sur le net …

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Toyota TS010 ’92

La phase d’apprentissage ayant été accomplie, il s’agit maintenant de revoir les ambitions à la hausse. Toyota vise désormais le podium et pourquoi pas la victoire !

*

Le carénage des roues arrières, symbole du début des ’90s en endurance. Idéal pour la vitesse de pointe, un peu moins pour le changement de pneus !
  • Caractéristiques techniques : V10 3,5l, 600ch, 800 kg (source : 24h-en-piste.com)
  • Palmarès aux 24h du Mans : 2ème de l’édition ’92, 1er podium pour Toyota.
  • Particularité : La nouvelle réglementation atmo 3,5l décidée par la FIA décima le nombre de participants mais engendra un monstre avec la Peugeot 905 qui rafla les éditions ’92 et ’93. La Toyota a eu le tord de se retrouver face à elle.
  • Plus d’infos : endurancemag.fr/toyota-ts010/

Toyota 94C-V ’94

Retour aux moteurs turbo à partir de ’94 alors que Toyota est toujours en quête d’un succès au Mans. En tête depuis la 14ème heure et jusqu’à 1h30 de l’arrivée, la #1 due s’arrêter 12 minutes aux stands pour résoudre un problème de transmission. Elle perd la tête et ressort même 3ème… Mais Eddie Irvine, pilote de F1 en activité à cette époque là, se lance dans une folle remontée. Il parvient finalement à récupérer la seconde place dans l’avant dernier tour.

  • Caractéristiques techniques : V8 Bi-Turbo 3.6l, 780 ch, 924 kg. (source : gtplanet.net)
  • Palmarès aux 24H du Mans : 2ème et 4ème lors de l’édition ’94.
  • Particularité : Héros de la fin de course, Eddie Irvine n’aurait pas du piloter cette voiture. En effet, le 3ème homme de l’équipe était Roland Ratzenberger. Malheureusement, ce dernier se tua lors du funeste GP de F1 d’Imola en Mai ’94. Son nom est tout de même resté inscrit sur la carosserie, bel hommage.
  • Plus d’infos : Le Musée des 24h du Mans chez vous

Toyota TS020 GT-One ’99

Attention, voiture mythique !! ❤ Je vous ai dit précédemment que je n’étais pas très sensible aux lignes des protos. Et bien ceci ne s’applique pas à la GT One ! Ses lignes simples/pures, définies exclusivement en CAO afin d’optimiser l’aérodynamique sont juste sublimes avec ce nez venant mourir au raz du sol. Bref, j’étais venu pour elle et je ne suis pas déçu !

Quand on voit le nez haut perché des protos modernes, on peut laisser échapper un « C’était mieux avant …« 

Autant j’adore tous les appendices aéro d’une F1, autant là je suis fan du côté épuré de la GT One.

La finesse de l’arrière est assez stupéfiante : un extracteur, 6 petits feux, une lame d’aileron et basta !

  • Caractéristiques techniques : V8 Turbo de 3.6l, 600ch à 6000 tr/min, 900 kg (source : 24h-en-piste.com)
  • Palmarès aux 24h du Mans : Pole position pour la #1 et 2ème place pour la #3 en ’99.
  • Particularité : Comme l’exigeait le règlement, il existe une version « civile » de cette GT One homologuée sur route ! Enfin 2 exemplaires seulement. Une version très très proche de la voiture de course à tel point que la valise réglementaire se range … à la place du réservoir quand celui-ci est vide !
  • Plus d’infos : Endurance-Info.com/Rétrospective GT One – Le Mans ’99

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Après seulement 2 saisons, le programme GT One est arrêté et Toyota se consacre pleinement à son arrivée en F1 en 2002. Malgré une préparation studieuse et des moyens financiers colossaux, aucune victoire ne viendra ponctuer 8 saisons de F1. Ah, si seulement ils avaient poursuivi le programme GT One … Audi aurait certainement eu la vie moins facile durant plus d’une décennie ! Mais l’histoire est ainsi faite. 😥

Toyota TS030H ’12

2012, l’endurance entre dans une nouvelle ère avec la création d’un championnat du monde FIA – le WEC – et l’introduction des motorisations hybrides. Toyota, pionnier dans ce domaine depuis ’97 et la commercialisation de la Prius, y voit une belle opportunité pour revenir au Mans et essayer à nouveau de décrocher une victoire. Malheureusement, à cause de soucis de fiabilité en 2012 et d’un manque de performance en 2013, la TS030H ne sera pas celle qui offrira le 1er succès à Toyota dans la Sarthe.

Avec ses yeux en amande et son nez plongeant comme une F1, la TS030H est plutôt jolie de face !

Par contre l’énorme aileron de requin central, imposé depuis 2011 pour éviter que les LMP ne décollent en cas tête à queue, dénature complètement le profil. Un appendice certes efficace mais tellement disgracieux …

  • Caractéristiques techniques : V8 3.4l de 550ch à 9500 tr/min + 300Cv électriques, 900 kg. (source : 24h-en-piste.com)
  • Palmarès aux 24h du Mans Double abandon en 2012, 2ème et 4ème en 2013.
  • Particularité : Janvier 2012, coup de théâtre. Peugeot se retire du tout nouveau championnat du monde, laissant Audi seul … Afin d’offrir une opposition à la marque allemande, Toyota accélère son développement pour engager 2 voitures au Mans 2012.
  • Plus d’infos : fr.wikipedia.org/wiki/Toyota_TS030_Hybrid

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Toyota TS050H ’20

Après l’ogre Audi, c’est Porsche qui viendra contrarier les plans de Toyota et dans leur quête d’une victoire aux 24h du Mans entre 2015 et 2017… Je me souviens tout particulièrement de l’issue cruelle de l’édition 2016, avec la TS050 Hybride, déjà. En tête depuis la 17ème heure, la Toyota #5 signale des pertes de puissance à son stand à 14h53 … 7minutes avant le terme de l’épreuve. K. Kobayashi, alors au volant, est contraint de s’immobiliser sur la ligne droite d’arrivée tandis qu’il est doublé par le Porsche qui rafle ainsi la victoire… C’était vraiment terrible, les larmes de Hugues de Chaunac dans le stand Toyota étaient bouleversantes …

Je vous présente l’élue : celle par qui le succès de Toyota aux 24h du Mans est enfin arrivé !

Mais comme le dit le proverbe, tout vient à point qui sait attendre. Après Audi en 2016, c’est Porsche qui se retire fin 2017… Le Dieselgate laisse des traces dans le groupe VW. Ainsi, en 2018, Toyota est le seul constructeur à être présent en LMP1. Les autres ne peuvent pas gagner mais il n’est pas impossible que Toyota perde, poursuivi par une sorte de malchance depuis près de 2 décennies au Mans. Mais cela n’arrivera pas et le constructeur japonais verra sa ténacité récompensée par 3 succès consécutifs en 2018, 2019 et 2020. Enfin ! 😅

  • Caractéristiques techniques : V6 2,4l 530 ch à 9500 tr/min + 300 ch électriques, 888 kg. (source : 24h-en-piste.com)
  • Palmarès aux 24h du Mans : 3 Victoires de la #8 en 2018, 2019 et 2020 !
  • Particularité : Suite au départ de Porsche fin 2017, Toyota et la TS050 Hybride ont tenu le championnat du monde à bout de bras en étant le seul constructeur officiel engagé. Résultat, un palmarès incroyable : 18 victoires, 15 pôles, 14 meilleurs tours et le record du tour absolu aux 24 Heures du Mans. On peut ajouter à cela trois succès aux 24 Heures du Mans et deux titres mondiaux. 
  • Plus d’infos : Endurance-Info.com/Retraite-TS050-Hybride

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L’expo en un mot ? Superbe !

Au final, je vous conseille vivement de vous rendre au Musée des 24h du Mans, que vous assistiez à l’édition 2021 ou que vous soyez simplement de passage. Les 7 modèles présentés sont tout à fait pertinents et représentatifs des différentes étapes du parcours de Toyota au Mans. Et puis ils ont fait le pari de mettre une Supra à l’entrée alors… 🤣

Il faut également saluer la présentation aérée, épurée et la charte graphique rouge/blanc/noir sont particulièrement à mon goût ! L’éclairage est également parfaitement orienté et suffisamment puissant tandis que les « barrières » restent très discrètes. Bref, je me suis régalé à faire plein de photos – et j’aurai pu y passer une heure supplémentaire. Si seulement ça pouvait leur donner des idées pour l’allée des protos… 😇

Enfin, aucun disgracieux pupitre ne venait gâcher les photos. Le choix de grandes fresques mêlant images d’archives et explications était des plus judicieux ! Il y a aussi quelques écrans pour voir ces bolides en action… vraiment rien à redire ! 📸

Côté pratique : l’expo dure jusqu’au 20 Février 2022 et l’entrée du Musée est à 9€50. Même pour les habitués, la visite vaut vraiment le coup d’œil.

Cerise sur le gateau : effet covid ou vacances, en tout cas il n’y avait pas foule ! Parfait pour les photos !

J’ai shooté la Supra GT LM … Je ne m’en suis pas encore remis ! ❤

Bon, ça fait 3 fois que je regarde l’heure, il faut me rendre à l’évidence : je dois partir ! 😥

2021 et la naissance de l’Hypercar

Puisque d’ici quelques jours ce sera d’actualité, un petit mot sur l’édition 2021 des 24H du Mans qui auront lieu les 21 & 22 Aout prochain. Fini les LMP1, place à la toute nouvelle catégorie Hypercar où Toyota fait de nouveau figure de grand favori. Mais qui sait … la course pourrait tout de même nous réserver quelques surprises car 24H c’est long !!🙃

Victoire Toyota en Hypercar et Ferrari en GT, ça m’irait très bien ! © Philippe Nanchino

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9 Comments

  1. Jacques Lafrite
    28 juillet 2021
    Reply

    Ah le temps de charge des turbos de la supra full prépa dans GranTurismo….. un grand moment !!! et quelle finesse, quelle pureté cette GT One ! beau reportage !

    • Sylvain
      28 juillet 2021
      Reply

      Je vois qu’on a les mêmes références !! 😍

  2. casimir
    28 juillet 2021
    Reply

    😍 Merci pour ce superbe reportage…Les proto de course du Mans ça reste magique. Surtout quand ils sont exposés dans cet état « finish line ». Il y a des morceaux de compétition dans l’air. TS020 GT-One pour moi puisque tu sembles hésiter. Mais bon la reine reste la 962C avec sa livrée Rothmans 😜

    • Sylvain
      28 juillet 2021
      Reply

      Bon, OK, la 962 Rothmans a sa place sur le podium, juste à côté des 2 Toyota ! 😂

      Bien qu’il faudrait ajouter une BMW V12 LMR … et une Aston DBR1-2 … Il faudrait un grand podium en fait

      😅

  3. Puff92
    28 juillet 2021
    Reply

    Très belle exposition. Merci pour cette rétrospective de l’aventure Toyota en endurance. GT One pour moi 😉

    • Sylvain
      28 juillet 2021
      Reply

      Avec plaisir 😉 La GT One est vraiment une icône même si elle n’a pas gagné !

  4. The Maxque.
    28 juillet 2021
    Reply

    Bien que les conditions d’éclairage et d’espace ne soient pas idéales, encore un joli reportage. Et, en plus des Toyota d’exception, quelques motos prestigieuses !!😍

    • Sylvain
      28 juillet 2021
      Reply

      Dans la salle Toyota l’éclairage me convenait bien, ça fait plein d’étoiles sur les photos ! C’est surtout dans le reste du musée – hors moto – que j’aimerais bien quelques watt en plus 😉

      Ça m’étonne pas que tu aies bien aimé les motos, et encore je garde la Japauto sous le coude pour plus tard 😇
  5. The Maxque.
    28 juillet 2021
    Reply

    Une précision : la JAPAUTO N° 51 (au premier plan) à gagner le Bol d’Or, au Mans, en 1972. Poids 170 kgs, 4 cylindres, 969,8cc, carbus d’origine, 85 cv, 220 km/h.

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