Last updated on 5 janvier 2022
RM Sotheby’s organisait le 19 Novembre dernier une vente aux enchères exceptionnelle, au cœur du Circuit Paul Ricard. La veille, la Collection Guikas s’offrait une dernière fois au regard du public avant d’être dispersée. Et c’était magnifique !
Les catalogues de ventes aux enchères sont souvent remplis de superbes photos : des autos rares, mises en valeur par des photographes pros dans des décors de rêves. D’ailleurs, j’ai appris récemment que les voitures étaient généralement exposées quelques jours avant pour que le public, mais surtout les éventuels acheteurs, puissent venir admirer ces bijoux. Malheureusement ça se passe souvent loin, très loin … Mais cette fois-ci, c’était différent ! 😅
Dis Papa, tu n’as pas envie de monter une dernière fois en moto au Castellet avant l’hiver ? Disons jeudi prochain ? Ça te ferait une balade sympa. Et n’oublie pas ton appareil photo, il y aura plein de voitures de collection exposées au circuit !
Un fiston très malin !
Vous l’aurez compris, à mon grand regret, je n’ai pas pu me rendre au Circuit Paul Ricard pour détailler cette merveilleuse Collection Guikas. Mais j’ai missionné mon père et je dois avouer qu’il a accompli sa mission avec brio.
Ce sont près de quatre vingt voitures qui sont exposées dans la voie des stands et dans les garages. Arrivé en milieu d’après-midi, il n’y a finalement pas trop de monde. Tant mieux pour les photos ! Et même si je lui avais fait une liste des modèles qui m’intéressaient le plus, je crois qu’il a aussi fait à son idée, profitant à fond de ce superbe plateau ! 🤩
Puisque j’ai fait le traitement des photos, je n’ai aucun scrupule à apposer ma signature sur ses clichés ! 🤣
Déambulation sur la Pit-Lane
Commençons par découvrir les autos qui sont présentées dans la voie des stands. Ce qui frappe au premier coup d’œil, c’est vraiment la diversité des modèles : course, route, anciennes, modernes … difficile de trouver le fil conducteur de la collection de Jean Guikas si ce n’est l’amour des automobiles exceptionnelles, pour diverses raisons !
Pour commencer, voici un très désirable trio de GT italiennes parmi les plus performantes de leur époque. Malgré tout, elles possèdent chacune une personnalité et un caractère distincts. Au moment du choix, mon cœur s’emballe pour la Countach ! 😍
- Ferrari Testarossa ’86, 1ère version avec son unique rétro haut perché et ses jantes à écrou central, dans une configuration gris Argento / sellerie Rosso très originale. Vendue 286 250€.
- Ferrari 512 BB ’79, moins de 1000 exemplaires produits, celui-ci n’ayant parcouru que 22 000km en plus de 40 ans ! Vendue 252 250€.
- Lamborghini Countach LP400S ’81, juste magnifique avec ses ailes larges et sa suspension basse. Et que dire de son intérieur blanc. Vendue 432 500€.
Quelques mètres plus loin, on fait un bond de 30 ans en avant et on retrouve face à 3 monstres des circuits ! Êtes-vous plus sensibles au grondement de l’énorme V8 de la Saleen, au brio du V12 de la Ferrari ou à la classe de l’Aston Martin dans sa robe vert métallisé So British?
- Saleen S7R ’05, elle couru 25 courses entre 2006 et 2009 remportant même 3 victoires en FIA GT ! Une carrière bien remplie. Vendue 455 000€.
- Ferrari 575 GTC ’05, la dernière Ferrari de course à moteur V12. La fin d’une ère … même si on peut considérer que la 599XX a pris le relais depuis. Vendue 2 648 750€.
- Aston Martin DBRS9 ’07, petite sœur version GT3 de la DBR9 GT1 avec laquelle Aston Martin a signé son retour en compétition internationale en 2005. Vendue 195 500€
A titre personnel, malgré le charme indéniable de la Saleen et l’Aston, la Ferrari reste au dessus du lot. Pour sa ligne, son moteur mais surtout le cheval cabré apposé sur son capot ! Forza Italia !!
Plus confidentielle que les 3 précédentes, voici la Lister Storm GT ’01. Basée sur un modèle de route – enfin seulement 4 exemplaires furent produits ! – et possédant un physique que l’on pourrait qualifié d’atypique, elle s’est révélée relativement performante avec 7 podiums dont 2 victoires lors de son engagement en FIA GT entre 2001 et 2005. Vendue 736 250€.
Sans transition aucune, retour dans les années 50 et 60. Deux décennies durant lesquelles les carrossiers italiens régnaient en maître sur le design automobile mondial !
- Bizzarrini 5300 GT Strada ’68, version très haute performante de l’ISO Grifo. Avec son gros V8 Ford, elle fait partie de ces mariages heureux entre l’Italie et les USA, à l’instar de la De Tomaso Pantera. Vendue 680 000€.
- Ferrari 250 GT Berlinetta Competizione ’55, la mère de la 250 GT SWB qui dominera le Tour de France et d’innombrables épreuves dans les ’60s, un jalon dans l’histoire de Ferrari. C’est sans aucun doute le lot le plus remarquable de cette collection … mais un peu trop ancien pour moi. Vendue 6 192 500€.
- Ferrari 250 GT Cabriolet ’58, un des 40 exemplaires de ce qui restera comme le premier cabriolet Ferrari produit en série. A ne pas confondre avec la « California », contemporaine mais plus sportive dans sa définition. Vendue 4 420 625€.
Restons encore un peu dans les ’60s avec la Dino 206 GT ’68. Nommée ainsi en hommage à son fils Dino, c’est la première voiture développée par Ferrari avec un moteur V6, en position centrale arrière qui plus est. Un peu trop audacieux pour Enzo Ferrari qui ne l’intégrera dans la gamme « officielle » que quelques années après lorsqu’elle deviendra 246 GT. Cette 206 GT est donc la première de la lignée des Berlinettes de Maranello. Vendue 477 500€.
A l’arrière plan, l’une de ses concurrentes de l’époque, la Porsche 911 S Targa ’73. Vendue 138 000€.
Poursuivons avec deux visions très différentes de la course automobile. D’un côté, la Renault-Alpine A442 ’76. Engagée par deux fois aux 24h du Mans, il y a visiblement discussion pour savoir si oui ou non c’est le châssis vainqueur de la classique Mancelle en ’78. Quoiqu’il en soit, avec son petit moteur 2l turbo et sa ligne aérodynamique, elle représente bien ce qui se faisait en Europe à la fin des ’70s. Vendue 2 255 000€.
De l’autre côté de l’Atlantique, on retrouve une improbable Holman-Moody Ford Honker II ’67. Une barquette, élégante, propulsée par un bon gros V8 Ford… la recette typique de la série Can-Am à la fin des ’60s. Ayant appartenue à Paul Newman, pilotée par Mario Andretti, apparue dans le film Virages, elle est liée à de grands noms du sport automobile US. Vendue 252 500€.
On pousse le cran de la compétition encore un peu plus loin et nous voici en face d’une véritable Formule 1, la Prost GP AP02 ’99. Une vraie, qui a couru 4 GP au début de la saison ’99 : Australie, Brésil, Saint Marin & Monaco. Avec son V10 Peugeot de 800ch, hurlant à plus de 17 000tr/min … le genre de machine qui te file les frissons en une fraction de seconde ! Aujourd’hui il s’agit d’un châssis roulant, moteur et boite étant fournis séparément. Pas simple de faire rouler de tels bijoux de technologie sans toute une équipe d’ingénieurs autour. Vendue 172 500€.
Voilà, on a fait le tour de ce qui était présenté sur la Pit-Lane mais ce n’est pas fini… loin de là ! 😉
A la découverte des Box
Les box sont eux aussi remplis de nombreuses pépites. Et l’on retrouve avec bonheur la même diversité que sur la pit-lane. Décidément, ce M. Guikas avait des goûts très éclectiques en matière d’automobile.
Envie d’un jouet pour rouler sur circuit, juste pour le plaisir, sans prise de tête mais avec un haut niveau de performance ? 3 générations de Ferrari sont là pour ça.
- Ferrari 360 Challenge ’01, ex-Italian Pirelli Challenge. Vendue 92 000€.
- Crawford-Ferrari 430 GT ’08, mariage étonnant entre un châssis « générique » Crawford et un ensemble moteur, boite, carrosserie de F430. Performante certes, mais pour le côté authentique on repassera … Vendue 86 250€.
- Ferrari 458 GTD ’12, version US des 458 GT3, elle a participé aux 24h de Daytona 2014 finissant 6ème de sa catégorie et 23ème au général. C’est clairement celle-ci qui a ma préférence dans sa sublime robe noire/grise et ses feux jaunes ! Vendue 308 750€.
Si vous êtes plutôt fan de course historique, on a là deux monstres sacrés ! Commençons par la plus ancienne, une Lola T70 MKIII Coupé de ’67. Aussi belle qu’une italienne contemporaine et diablement performante avec son V8 Chevrolet. De nos jours, dans les meetings historiques, les T70 font souvent jeu égal avec les fameuses GT40. Vendue 432 500€.
Sa voisine de garage est rouge également … mais la comparaison s’arrête là. Il s’agit d’une Ferrari 512 BB/LM ’81. Pour moi, Ferrari au Mans ce sont les 330 P3/P4 et basta. Avant, c’est trop ancien, après … c’est moins joli et moins performant. Ayant eu la chance de voir quelques exemplaires de 512 BB/LM lors de Le Mans Classic ’12, je n’avait pas été conquis. Mais cette version ’84, que je ne connaissais pas, est plus ronde – notamment la face avant – et me donne envie de m’y intéresser. Ayant participé avec un succès relatif à diverses épreuves d’endurance en Europe, elle compte surtout 2 participations aux 24H du Mans en ’81 et ’84. Depuis lors, elle est restée exposée dans divers musées, préservée des affres du temps. Vendue 1 973 750€.
Et parce que je les aime beaucoup ces deux-là, quelques photos bonus de ce duo !
Nous approchons ici ma Star de la vente, celle sans qui je n’aurais pas demandé à mon père de faire le déplacement. Une Jaguar XJ200C LM de ’93. Pourquoi je l’aime ? Car elle est l’un des symboles d’une époque où les GT en endurance étaient les versions courses des Supercars de route dont je rêvais. F40, Bugatti EB110, McLaren F1, Venturi 400 GT, … Et j’ai toujours eu un faible pour la mal-aimée XJ220 et sa silhouette large, plate et très longue ! Cet exemplaire a couru à 2 reprises aux 24h du Mans. En ’93 avec l’équipe Jaguar officielle – c’est d’ailleurs la livrée qu’elle a retrouvé aujourd’hui – puis en ’95 avec une écurie privée. Si en ’93 elle s’est avérée performante, en ’95 elle était dépassée par la nouvelle génération de GT et ses deux participations se soldèrent par autant d’abandons. Vendue 826 250€.
Pour conclure ce chapitre sport mécanique, retour du côté de la Formule 1 ! Alors oui, cette Arrows A11B de ’90 n’est pas la plus performante – une 5ème place à Monaco comme meilleur résultat accompagnée de nombreux abandons / non qualifications – ni la plus prestigieuse – Arrows n’a jamais gagné de course en près de 300 GP et elle est propulsée par l’ultra classique Ford V8 DFR – mais c’est une authentique Formule 1 ayant participé à 11GP et à ce titre, je l’aime ! Bon, sans moteur – mais avec une boite de vitesse – ça fait un peu moins rêver je vous l’accorde. Vendue 161 000€.
Un coup d’œil au box voisin nous fait retourner quelques décennies en arrière avec de très belles classiques. Quand je vous disais que cette collection était vraiment hétéroclite.
D’ailleurs, je vous mets au défi de trouver un point commun entre ces trois-là :
- Lola B1280 IMSA ’12, prototype de la catégorie LMP2. Vendue 241 250€.
- Ferrari 365 GTC/4 ’71, avec une inhabituelle teinte « Azzuro Gladiateur ». Vendue 212 750€.
- BMW M3 CSL ’03, version plus puissante et allégée de la déjà très désirable M3 E46. Vendue 71 300€.
Pour ces trois autres, la thématique est toute trouvée. Rouler en blanc, cheveux au vent ! Mais le choix n’est peut-être pas si évident entre la classe d’une Jaguar Type E Serie 1 Roadster ’65 (vendue 123 625€), la démesure d’une Cadillac Series 62 convertible ’51 (vendue 46 000€) et la sportivité d’une Ferrari 328 GTS ’86 (vendue 92 000€).
Lorsqu’on est face à un plateau d’une telle qualité, difficile de dire « Je vous ai gardé le meilleur pour la fin !« . Pourtant, dans les 350 photos que mon père m’a ramenées, ces 3 duos m’ont interpellé. Qu’elles soient éclairées par la lumière chaude de la fin de journée ou la froideur des néons, je trouve que ces 5 autos sont vraiment sublimées sur ces quelques photos !
- ISO Grifo A3/C ’65, vendue neuve à Johnny Hallyday, il s’agit d’un des 10 exemplaires « rivetés ». Sa carrosserie en duralumin lui permet de rester sous la tonne mais est très difficile à souder. Son assemblage se fait donc par rivetage, comme pour les avions. Vendue 1 805 000€.
- Ferrari 365 GTB/4 Daytona ’69, la 12ème Daytona sortie des chaines de production de Maranello ! Vendue 606 875€.
Après, il faut dire que j’ai toujours eu un faible pour les photos de voitures dans les box. Cet environnement épuré rend la lecture de l’image simple, évidente … une belle carrosserie, tout simplement.
- Lamborghini Countach LP400 « Periscipio » ’75, la version originelle de la Countach avec son ouverture périscope sur le toit pour améliorer la rétrovision. Avec ses lignes pures, dépourvues d’aileron ou extensions d’ailes, c’est pour beaucoup la version la plus désirable. Vendue 905 000€.
- Ferrari 275 GTB ’75, ne vous fiez pas aux apparences … sous cette élégante robe « blu sera » se cache une vraie voiture de course avec un petit palmarès dans les ’70s. C’est d’ailleurs en les côtoyant lors du Tour Auto que j’ai appris à apprécier ces Ferrari « classiques ». Vendue 2 142 500€.
Il ne vous aura peut-être pas échappé que les 4 voitures précédentes étaient équipées de moteurs 12 cylindres. Et bien sans surprise, ce sera aussi le cas pour la dernière de cette série. Italienne elle aussi … Un jour j’aurai un V12 transalpin dans le garage … un jour, peut-être …
- Ferrari 365 GT4 BB ’74, première Ferrari de route à moteur central arrière en remplacement de la Daytona, c’est elle qui initia la lignée des Berlinetta Boxer qui perdurera jusqu’au début des ’90s avec la Testarossa. Etonnamment, nous aurons vu dans cette vente 3 exemplaires de cette dynastie en Gris ! Vendue 353 750€.
La similitude des lignes de la Ferrari et de la Lamborghini est flagrante. Dans les ’70s, le « wedge design » – dessin en coin – est à la mode, bien aidé par le développement des modèles à moteurs central arrière !
Jusqu’à la tombée de la nuit …
Vous l’avez sans doute remarqué depuis quelques semaines mais en cette fin d’automne – et surtout depuis le passage à l’heure d’hiver – il fait nuit tôt, très tôt. Et le soleil se couche à une vitesse assez folle lorsqu’on a la chance d’y prêter attention. Du coup, mon cher Papa se retrouve rapidement dans la pénombre, le flash devenant alors un allié précieux. 📸
Finalement, après 2h à arpenter cette voie des stand, il ne s’est pas fait prier lorsque le chauffeur de la navette lui proposa de le raccompagner au parking !
Fier de mon envoyé spécial !
Au départ, j’ai surtout envoyé mon Papa sur place pour photographier la XJ220. C’était vraiment mon coup de cœur sur le catalogue. Je lui avait bien donné quelques conseils/consignes – ne cadre pas trop serré, je m’en occuperai au post-traitement – mais je n’attendais/espérais rien de plus que quelques photos souvenir.
En définitive, il a fait preuve d’une grande application, cherchant à éliminer au maximum le public – il sait que je n’aime pas ça – et n’hésitant pas à s’agenouiller souvent pour avoir un point de vue plus original. Cerise sur le gâteau, en y allant en milieu d’après-midi il a pu profiter d’une superbe lumière. Bref, le résultat est vraiment au delà de mes espérances et c’est pour cela que j’ai décidé d’en faire un article. Merci et Bravo Papa ! 👏
D’ailleurs, il s’est vraiment pris au jeu en faisant quelques gros plans sur des détails qui l’attiraient. J’ai surtout retenu cette belle série de volants, moi qui ne photographie que très peu les intérieurs, ça m’a donné des idées ! Le plus important reste qu’ il m’a assuré avoir pris beaucoup de plaisir à découvrir tous ces modèles rares et prestigieux. Grâce à lui j’ai pu vivre cette exposition par procuration … et c’est à mon tour de vous en faire profiter ! 😉
Et pour les curieux …
S’agissant d’une vente aux enchères, j’ai trouvé pertinent de vous mettre les prix des différents modèles photographiés. Si en valeur absolue ce sont des sommes assez incroyables – voire même délirantes – les prix de vente sont globalement inférieurs aux estimations de RM Sotheby’s. Proposés sans prix de réserve, l’ensemble des 87 lots – dont 77 voitures – ont été vendus pour une somme totale de près de 40 millions d’euros !
Et si voulez en savoir plus, je vous conseille d’aller parcourir l’ensemble des résultats de la vente. En plus des prix d’adjudication, vous y trouverez de nombreux détails et anecdotes sur tous les modèles ainsi que d’innombrables photos de grandes qualité.
J’espère que cet article un peu atypique vous aura plu. En tout cas il n’a fait que renforcer mon envie d’aller voir ce type d’exposition. Lors du salon Rétromobile en Février prochain ? Qui sait … 😎
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Je suis TRES fier du résultat suite à cette mission des plus risquées étant donné ton niveau d’exigence ! 🤪
C’était sympa de faire ça en équipe ! 😉 La prochaine fois je t’envoie faire des photos de voitures qui roulent… on verra si tu t’en sors aussi bien 😅
Comment il assure le paternel 👍 Merci pour ce super reportage et à l’envoyé spécial….Du coup, au jeu débile du « si j’avais participé à la vente en ayant les moyens de prendre n’importe laquelle…. » Après avoir hésité à prendre la Lola T70 je me contenterais de la 458 GTD noire , Et on te souhaite d’avoir un V12 italien dans la garage un jour…😉
Pour les photos du Papa … tu sais bien que c’est le post-traitement qui fait tout. 🤣 La Ferrari 458 GTD est un excellent choix de passion & de raison. 👍 Quant au V12 italien … on en reparle dans quelques décennies, si on est pas tous électrocutés d’ici là ! 😲
Quelle équipe ! Tres beau reportage et ce fonctionnement en duo donne un superbe résultat. Remerciements au paternel (Sylvain, lui il reçoit des louanges à chaque reportage !) pour ces clichés qui montrent aussi cette ambiance un peu irréelle d’un circuit déserté où restent quelques bolides improbables. Le cliché de la Lola T70 de face dans le stand pour moi en 2m x 3 svp 😁
Tu as raison d’insister sur ce point, ça devait être grandiose au coucher du soleil ! 🤩
Très joli reportage, bravo au photographe et au rédacteur ! :)Il y a de très jolies voitures, je ne connais pas la plupart des noms, mais cela n’empêche pas d’en apprécier certaines. Je ne doutais pas que ça allait se vendre cher tout ça ! 🙂
Merci pour ton passage Anne 🙂 Et encore, je n’ai pas insisté sur les très anciennes qui auraient sans doute eu ta préférence 😉
Superbe reportage, j’ai passé quelques minutes dans les stands, senti les odeurs d’huile et de pneu. Il fait bon flâner dans la ligne des stands 😉 Belles lumières et compositions, Pour moi, ce sera une « Ferrari 250 GT Berlinetta Competizione ’55 » 😉
Merci Cédric, c’est sûr que l’atmosphère y est très agréable ! Et il y fait plus chaud que lors de ton dernier shooting des superbes illuminations Lilloises ! 😉